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D é r i v e s
p h o t o g r a p h i q u e s
e t   l i t t é r a i r e s

 

Paris 14ème

« Autour du quartier, autour de son immobilité fuyante et menacée
s’étendait une ville à demi connue où les gens ne se rencontraient
que par hasard, s’égaraient sans retour.
 »
(Guy Debord)

 

 

 

Paris 13ème

« Ici même, il n’arrivera jamais rien, et rien n’y est jamais arrivé. »
(Guy Debord)

 

 

 

Paris 19ème

« Ces désastres urbains n’ont en réalité comme seule fonction que
de rentabiliser des territoires désincarnés et interconnectés.
»
(Thierry Paquot)

 

 

 

Paris 9ème

« Le moment présent est déjà celui de l’autodestruction du milieu urbain. »
(Guy Debord)

 

 

 

Paris 13ème

« Parlez-moi des formes, j'ai grand besoin d'inquiétude. »
(Paul Éluard)

 

 

 

Paris 13ème

« Tellement vide, à hurler, à hurler. »
(Guy Debord)

 

 

 

Paris 13ème

« La tendance totalitaire de l'organisation de la vie
par le capitalisme moderne.
»
(Guy Debord)

 

 

 

Audresselles (62)

« Le palais des autres jours
d'hier et de demain
»    
(Noir Désir)

 

 

 

Bétheny (51)

« Un devenir historique réifié dont les dynamiques internes continuent
à nourrir des déterminations qui s’auto-reproduisent.
 »
(Sasha Lipovsky)

 

 

 

Boulogne-sur-Mer (62)

L'erratique errance des convergences de façade.

 

 

 

Lorient (56)

« C’était une dérive à grandes journées,
où rien ne ressemblait à la veille, et qui ne s’arrêtait jamais.
»
(Guy Debord)

 

 

 

Montreuil (93)

« Je ne traversais pas les mêmes rues que les promeneurs qui étaient dehors ce jour-là,
mais un passé glissant, triste et doux.
»
(Marcel Proust)

 

 

 

Paris 20ème

L'indéfinissable délimitation des transgressions mentales.

 

 

 

Paris 14ème

Réinventer le monde.

 

 

 

Paris 14ème

« Toutes les choses dérisoires ou grandioses, oubliées ou mises en scène. »
(Emmanuelle Lambert)

 

 

 

Boulogne-sur-Mer (62)

« L'image rassurante de la quotidienneté. »
(Emmanuelle Lambert)

 

 

 

Paris 19ème

Verticalité collective globalement totalitaire.

 

 

 

Ypres (Belgique)

« N'as-tu pas vu qu'il y avait ici un l'on sait quoi tout à fait fascinant ? »
(Georges Pérec)

 

 

 

Paris 14ème

« L'ennui pur, sans passion et bien ordonné. »
(Le Comité invisible)

 

 

 

Stella-Plage (62)

« C'est cela au fond, que je suis : le gardien
de ce qui ne nous appartient pas.
»
(Laurent Gaude)

 

 

 

Montreuil (93)

« La mise en spectacle de la réification. »
(Mustapha Khayati)

 

 

 

Ostende (Belgique)

« Aveugle silencieuse
Elle est partout semblable et vide
»
(Paul Éluard)

 

 

 

Ivry-sur-Seine (94)

« Cette contingence originelle à partir de laquelle s’est cristallisé
un phénomène imprévisible.
»
(Jean-Baptiste Vuillerod)

« Haute couture » - installation de Dimitri Tsykalov

 

 

 

Strasbourg (67)

« Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn. »
Dans sa demeure de R'lyeh la morte, Cthulhu rêve et attend.
(Howard Phillips Lovecraft)

 

 

 

Paris 12ème

« Un espace de transition, de lisière indéterminée entre la vie et la mort. »
(Valérie Simonnet)

 

 

 

Paris 14ème

« Information, culture, urbanisme, publicité, suggestions conditionnantes
au service de tout ordre établi et à venir.
»
(Raoul Vaneigem)

 

 

 

Baleal (Portugal)

« D’inquiétants quartiers d’arcades pourraient un jour continuer,
et accomplir l’attirance de cette œuvre.
»
(Guy Debord)

 

 

 

Paris 14ème

« La paisible coexistence de l’espace. »
(Friedrich Hegel)

 

 

 

Paris 4ème

« Je la faisais vivre ainsi dans l'insécurité et la terreur la plus totale. »
(Louis Althusser)

 

 

 

Montreuil (93)

« Assouvir jusqu'au bout la fascination du cri vain. »
(Georges Pérec)

 

 

 

Paris 1er

« J'ai tout touché : le feu, les femmes, et les pommes. »
(Charles Cros)

 

 

 

Strasbourg (67)

« Peu à peu, il devint impossible d'échanger avec quiconque
une parole raisonnable.
»
(Stefan Zweig)

 

 

 

Paris 3ème

« J’ai longtemps cherché la ligne de flottaison de ces corps amphibies. »
(Jacques Derrida)

 

 

 

Paris 14ème

« Les masses informes de résidus urbains. »
(Lewis Mumford)

 

 

 

Paris 3ème

« La consommation ostentatoire du néant. »
(Guy Debord)

 

 

 

Fontaines-sur-Saône (69)

« Le sujet échappera aussitôt, tombant dans ce qu'il faut bien appeler un non-sens. »
(Sophie Genet)

 

 

 

Bagneux (92)

« Comme des panneaux indicateurs dans des villes fantômes,
et seules les tombes sont réelles.
 »
(Charles Bukowski)

 

 

 

Poigny-la-Forêt (78)

« Le lieu du trop-plein signifiant
où l’illisible peut ouvrir les possibilités du lisible.
»
(Sasha Lipovsky)

 

 

 

Lille (59)

« Le murmure des fantômes au fond de la mémoire. »
(Boris Cyrulnik)

 

 

 

Paris 6ème

« Le stratagème de l’amnésie des persistances. »
(Catherine Malabou)

À l'écran : « La Brigada », de Bertille Bak

 

 

 

Paris 14ème

« Elles nous enseignent la fatalité des déroutes. »
(Daniel Denevert)

 

 

 

Paris 19ème


(Rero)

 

 

 

Paris 19ème

« Des flexions de l'exister qu'il convient de comprendre et d'interroger. »
(Patrick Colin)

 

 

 

Paris 1er

« Découvrir de nouvelles jungles chaotiques
par des expériences inutiles ou insensées.
 »
(Asger Jorn)

« L'arbre des Voyelles » par Giuseppe Penone

 

 

 

Strasbourg (67)

« La démesure des revendications d’amour. »
(Sigmund Freud)

 

 

 

Paris 14ème

« Nous avions décidé que rien ne se définirait
Que selon le doigt posé par hasard sur les commandes d'un appareil brisé.
»
(Paul Éluard)

 

 

 

Paris 14ème

Solution de continuité d'un parallélisme fortuit.

 

 

 

Épernon (28)

« Il butait à tout instant sur un mot
dont il ignorait la signification.
»
(Georges Pérec)

 

 

 

Paris 14ème

« Un visage semblable à tous les visages oubliés. »
(Paul Éluard)

 

 

 

Paris 19ème

« Ce quelque chose en nous qui échappe au conjugable. »
(Fernand Deligny)

 

 

 

Rambouillet (78)

« Pour l'intelligence de quelques aspects du moment. »
(Daniel Denevert)

 

 

 

Tourcoing (59)

Par delà les certitudes du monde.

 

 

 

Paris 14ème

« La pauvreté des moyens est chargée d'exprimer
sans fard la scandaleuse beauté du sujet.
»
(Guy Debord)

 

 

 

Bagneux (92)

La tectonique des plaques.

 

 

 

Paris 3ème

« L’esquisse d’une solution du problème de l’être. »
(Jean-Paul Sartre)

 

 

 

Dijon (21)

« Il se situe dans le lieu même de l'écriture du livre. Du côté de la mort. »
(Annie Ernaux)

 

 

 

Paris 20ème

« La dialectique de substitution de la satisfaction à l'exigence d'amour. »
(Jacques Lacan)

 

 

 

Lagny-sur-Marne (77)

« La région énigmatique où se structurent les réalités essentielles. »
(Maurice Corvez)

 

 

 

Paris 14ème

« Le but principal de l'idéologie de la classe dominante est donc la confusion. »
(Guy Debord)

 

 

 

Paris 13ème

« Toutes les images disparaîtront. »
(Annie Ernaux)

 

 

 

Nanchez (25)

« Ses longs cheveux noirs m’enveloppaient comme le drapeau de la mort. »
(Charles Bukowski)

 

 

 

Paris 1er

« Cette chose rare et toujours plus rare : ce qui vaut la peine d'être dit. »
(Gilles Deleuze)

 

 

 

Berlin (Allemagne)

« L'infra-ordinaire dans les parcours urbains. »
(Yvan Chasson)

 

 

 

Châteauneuf-en-Thymerais (28)

« La quête du lieu acceptable. »
(Raymond Depardon)

 

 

 

Aussois (73)

« Une prison de cauchemars aux frontières du tangible. »
(S!ck)

 

 

 

Coimbra (Portugal)

« L'homme esgaré qui ne scet où il va. »
(Charles d'Orléans)

 

 

 

Paris 5ème

« La circulation, stade suprême de la planification urbaine. »
(Bulletin de l'Internationale Situationniste n°6)

 

 

 

Paris 8ème

« Une mise en scène de la fuite du temps
sur un espace social condamné au renouvellement créatif.
 »
(Bulletin de l'Internationale Situationniste n°3)

 

 

 

Lima (Pérou)

« De la misere d'home et de fame et de la doutance qu'on doit avoir de morir. »
(Gautier de Coinci)

 

 

 

Paris 20ème

« La remise à l'endroit du temps lui-même. »
(Jacques Derrida)

 

 

 

La Boissière-École (78)

« Voyager léger dans le néant. »
(Erwan Sommerer)

 

 

 

Paris 20ème

« Conquérir les généalogies des chaînes discursives. »
(Sasha Lipovsky)

 

 

 

Paris 14ème

La numérologie des cendres.

 

 

 

Paris 20ème

« Un rapport intense et complexe avec l'éternité. »
(Emil Cioran)

 

 

 

L'Île d'Olonne (85)

« L'Histoire, ce petit cloaque où l'homme aime patauger. »
(Francis Ponge)

 

 

 

Nanteuil (77)

« La vie c'est ça, un bout de lumière qui finit dans la nuit. »
(Louis-Ferdinand Céline)

 

 

 

Lille (59)

« La dissolution du moi individuel dans l'amorphe grégaire. »
(Mario Vargas Llosa)

 

 

 

Dourdan (91)

« La juxtaposition immobile des identités, la vie pétrifiée. »
(Daniel Denevert)

 

 

 

Paris 14ème

Une stratégie du confinement.

 

 

 

Paris 14ème

« Tout ce qui était directement vécu s’est éloigné dans une représentation. »
(Guy Debord)

 

 

 

Paris 13ème

« Les restes indigestes de l'orgie spectacliste. »
(L'Observatoire Situationniste)

 

 

 

Paris 14ème

Les infimes traces des beuveries consuméristes.

 

 

 

Paris 3ème

« Ainsi, toutes les passions et toutes les activités sont englouties dans la cupidité. »
(Karl Marx)

 

 

 

Paris 3ème

« L’affirmation de l’impossibilité d’une pure immanence. »
(Adrian Wohlleben)

 

 

 

Tourcoing (59)

« La recherche des points temporels où la cohérence a été rompue. »
(Sasha Lipovsky)

 

 

 

Paris 9ème

« L'insinuant circuit labyrinthal où nous marchions d'un pas somnanbulant. »
(Georges Pérec)

 

 

 

Paris 14ème

« On élimine d'abord la plaque de cuisson, la plaque dentaire et la plaque d'égout
qui n'ont rien à faire ici. Mais alors que nous reste-t-il ?
 »
(www.expressio.fr)

 

 

 

Paris 3ème

À l'autre bout de la rue, un jour peut-être...

 

 

 

Aussois (73)

« De tels lieux n'existent pas, et c'est parce qu'ils n'existent pas
que l'espace devient une question.
»
(Georges Pérec)

 

 

 

Paris 5ème

L'incomplétude des utilitarismes parallèles.

 

 

 

Paris 6ème

« Au début de cette histoire,
il y avait des gens faits pour l’oublier.
»
(Guy Debord)

 

 

 

Paris 14ème

« Les affinités électives. »
(Johann Wolfgang von Goethe)

 

 

 

Rambouillet (78)

L'enlisement des mobilités végétales.

 

 

 

Les Sables d'Olonne (85)

De l'électrification des bons sentiments.

 

 

 

Rambouillet (78)

« Dans un coin la voiture de verdure de l'été
Immobile glorieuse et pour toujours
»
(Paul Éluard)

 

 

 

Gâvres (56)

L'attente de l'illusoire adversaire.

 

 

 

Plage de Kerminihy (56)

Reconstruction fugitive d'un espace-temps euclidien.

 

 

 

Berck-sur-Mer (62)

« Maisons désertes abominables
Maisons pauvres                   
         Maisons comme des livres vides
 »
(Paul Éluard)                        

 

 

 

Arcachon (33)

« Le temps du monde fini commence. »
(Paul Valéry)

 

 

 

Cayeux-sur-Mer (80)

L'extension des territoires indéfinis.

 

 

 

Sermaise (91)

« Mais c'est ici qu'en ce moment
Commencent et finissent nos voyages
»
(Paul Éluard)

 

Sans rêve et sans réalité,
Aux images nous sommes condamnés
(Raoul Vaneigem)

 

V e r s   m a   m i n i b i o g r a p h i e

V e r s   l a    p a g e   d ' a c c u e i l

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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